Photograph by Farooq Khan
Il me manque une langue sensible
Et voilà la vraie liquide enfin
Qui verse du soleil à ces eaux profondes
Mais c'est une mare dans mon âme
Elle ne comprend rien de vivant
Tout fuit, il n'y a que d'ombres
Et un sens étranger de disparité
Suivant ces chemins trop sombres
En fil avancent les veuves de bois
Leurs vêtements noirs et lourds
Qui marchent le long de mon âme
Dans le rythme de temps perdu
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