vendredi 27 juin 2014

Dans le jardin


Toujours ces clés d'antiquité
Les pleurs viennent
on ne peut pas les empêcher
Les reines fières
souriantes en masques d'albâtre
leurs robes longues, les cheveux serrés
Mais leurs filles sont nues
chassées, emportées, violées
par les dieux et les fils de dieux 
en formes d'animaux


1 commentaire:

Jan Hersh a dit…

beaute neamoins...in the depiction of such power and force.
Lovely poem.